Alimentation vivante et taux vibratoire

 

Et si le taux vibratoire de nos aliments était en lien direct avec notre force vitale?

 

C’est la question qui est au cœur de nombreuses recherches depuis presque une centaine d’années.

 

Un article paru sur le site de l’INREES en avril 2020 met en avant l’énergie vitale de nos aliments, et plus précisément au travers d’études de radiesthésie, d’électro-photons, de cristallisation sensible et de la photographie de Kirlian. En voici un résumé.

 

Les recherches autour de l’énergie subtile absorbée et véhiculée par le vivant ont tout d’abord été commencées par le radiesthésiste André Bovis (son nom donné à l’èchelle de Bovis ou Unité Bovis UB plus tard), puis continuées par un ingénieur français, André Simoneton dans les années 40. 

 

André Bovis avait mis au point un pendule, plus précis que ceux de l’époque, qu’il déplaçait au-dessus des aliments afin d’en mesurer la vitalité intrinsèque, se reportant ensuite à un « biomètre » ou règle graduée qu’il avait conçue allant (initiallement) de 0 à 10 000 UB (Unité Bovis), la graduation sera revue par la suite. Ce procédé lui a permis de définir l’énergie vitale d’un aliment « normal » à 6500 UB.

Andrè Simoneton poursuivi les recherches de Bovis, et partait du principe que tout élément liquide, solide ou alimentaire émet des radiations de par ses atomes, mesurables à l’aide du pendule qui tournera en présence d’ondes ou oscillera en atteignant les limites du champs magnétique. 

Il arriva aux mêmes conclusions que Bovis et classa les aliments suivants : 

  • Aliments « supérieurs » : les fruits frais bien mûrs, les légumes crus ou cuits à l’étouffée, le pain biologique, les oléagineux et les œufs du jour
  • Aliments « de soutien » : le lait frais, les légumes cuits à l’eau bouillante, les poissons de mer cuits
  • Aliments « inférieurs » : la viande cuite, le café ou le pain blanc
  • Aliments « morts » : les conserves, la plupart des alcools et les sucres raffinés. 

Ces études, approfondies aujourd’hui, montrent également que certains types de cuisson comme la cocotte-minute, l’eau bouillante prolongée, les grillades, la friture altèrent significativement la qualité des aliments,voire la détruisent complètement comme c’est le cas du micro-ondes. 

Simoneton expliquait que « Le secret d’une nourriture fortifiante réside dans l’excellence de ses radiations »,ainsi une pomme encore sur l’arbre et bien mûre rayonne à 7000 UB, tandis que 2 jours après elle ne rayonnera plus qu’à 5000 UB. D’après lui, plus la nourriture émet de bonnes radiations, plus elle sera fortifiante pour notre organsime, la qualité primant sur la quantité.

C’est par hasard, quelques années plus tard, que Seymion Kirlian va entrer dans cette partie de chasse à l’énergie vitale. 

En effet, suite à un accident lors duquel son corps est traversé par une décharge électrique et se met à émaner des halos lumineux, l’électricien russe reproduit volontairement la scène afin que sa femme puisse photographier le phénomène. 

Malheureusement médiums et parapsychologues s’empareront de l’expérience en affirmant que Kirlian photographie l’âme, ou l’Aura des gens, ce qui lui vaudra un bon lot de controverses. Cette découverte n’en reste pas moins une grande avancée scientifique!

 

À partir de 1949, le couple parviendra à pousser leurs expériences sur beaucoup d’objets et corps, vivants ou non, et même les aliments.

 

Ils constatent qu’une plante ou un fruit émet moins de rayonnement selon s’il vieillit ou tombe malade. 

Un expert en alimentation et médecine naturelle, Joël Acremant, fit le parallèle avec le concept de « Prana » en Ayurveda, saluant les travaux de Kirlian qui nous permettent d’observer les forces éthériques d’un corps. 

Ces études restent néanmoins très subjectives et donc des proies faciles aux controverses, en revanche des recherches plus récentes sont quant à elles plus rigoureuses, mathématiques, et scientifiques : elles ont été faites grâce à l’électro-photonique. 

C’est un système numérisé qui permet d’évaluer la vitalité d’un aliment ou d’un humain de par la quantité et la puissance des photons qu’ils émettent. 

 

Ceux qui l’ont mis en place, le Professeur Konstantin Korotkov et son collaborateur français Christian Bordes, travaillent non seulement sur le taux vibratoire de l’aliment mais également sur la compatibilité avec l’être humain.

 

Comme exemple, des mesures prises fin 2019 sur une patiente montrent que son énergie est passée de 22 joules à 40 joules après ingestion d’un fruit frais biologique. Mais d’autres mesures montrent que le simple contact avec de la propolis agirait sur l’énergie de la personne et abaisserait son stress.

Si ces études ouvrent des pistes incroyables, elles mettent aussi malheureusement en évidence le fait que nous consommons énormément d’aliments « vides » ou « morts », qui affaiblissent notre énergie.

 

Ainsi Christian Bordes explique : « Les manipulations les plus courantes sont : conditionnement sous vide, stérilisation, lyophilisation, surgélation, l’utilisation de plus en plus grande de plastique et d’aluminium, et l’ajout de milliers d’additifs nous donnent finalement des aliments affaiblis qui nous affaiblissent. »

C’est donc un nouveau paradigme d’alimentation énergétique qui s’ouvre à nous, dans lequel les calories d’un aliment appartiendraient à la vieille école, tandis que son taux vibratoire serait davantage à rechercher si nous souhaitons améliorer notre vitalité.

 

Compte-rendu fait par Laureline Volatier pour l’école Synergie Naturopathie